Dites Marie, |
Vous Reposez
vous enfin ? |
Parmi les Uns,
parmi les Autres |
Vous Amusez-vous
enfin ? |
Dans la Nuit
sans Fin |
Au Pays Inconnu
... |
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Je ne Connais
rien de Vous |
Et j'en Sais
tant pourtant |
Car votre Voix
me Réconforte |
Je vous Confie,
je me Confonds |
Quelque part là
dans vos Chansons, |
Car vous Ouvrez
les Fenêtres en grand |
Et tout un Pays
veut bien s'Abriter dedans ... |
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Vous êtes ici
Marie, |
Parmi les Uns,
parmi les Autres |
Et nulle part
ailleurs que dans le Sillage de vos Yeux d'Or |
Et vous m'êtes
l'Eternelle Saison |
Qui Repose dans
une Boucle de Chansons ... |
Des Colliers de Mots,
de Lettres d'Émotions |
Qui s'Ouvrent et
qui Enferment |
Pour Toujours
|
Celui qui Germe |
A la faveur de
l'Amour |
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Dites moi Marie, |
Êtes-vous sous
un Arbre ? |
En plein Soleil
empreint de Ciel, |
En fin d'Hiver
ou à l'Aube d'une Renaissance, |
Sinon au bord de
la Rivière ... |
Peut être bien
dans des Bras d'une Être qui s'Émerveille |
De vous Avoir et
de vous Aimer |
Au bout du Monde
et ses Confins ... |
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Dites-moi Marie, |
Vous
Reposez-vous enfin ? |
Marie, ma Belle,
mon Éternelle ... |
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Najoua . |